• La facture très salée des catastrophes naturelles en 2017

    Les pertes économiques liées aux ouragans et aux désastres provoqués par l’homme devraient atteindre 306 milliards d’euros en 2017, selon le réassureur Swiss Re. La facture a rarement été aussi élevée.

    L’année 2017 devrait rester dans les annales. Le coût économique total provoqué à travers le monde par les catastrophes naturelles et les désastres causés par l’homme devrait atteindre 306 milliards de dollars cette année, selon les premières estimations du réassureur Swiss Re publiées mercredi. Un montant sans commune mesure avec celui constaté en 2016 (188 milliards de dollars).

    Conséquence directe, le montant des pertes prises en charge (indemnisations) par les assureurs devrait plus que doubler, passant de 65 milliards de dollars en 2016 à 136 milliards de dollars cette année, précise le réassureur suisse. 2017 restera dans les annales comme une année historiquement coûteuse, la note étant la troisième plus élevée pour les assureurs depuis 1970 (date du début du décompte du coût des catastrophes naturelles par le réassureur).

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  • Travailleurs non salariés : renforcez votre protection sociale

    Très mal indemnisés par leur régime de base en cas d’incapacité de travail ou d’invalidité, les indépendants doivent envisager des solutions de prévoyance individuelles.

    Qu’est-ce que la prévoyance ?

    Un contrat de prévoyance permet de faire face à une perte de revenus après un arrêt de travail (maladie et accident), une invalidité ou un décès.

    L’assurance prévoyance prend alors le relais de la couverture de base offerte par l’assurance maladie. Une grande confusion existe très souvent sur la définition même de la prévoyance. Beaucoup de Français la confondent avec la complémentaire santé.

    Pourquoi les non-salariés doivent-ils penser à la prévoyance ?

    Le régime de base des travailleurs non salariés prend en charge un premier niveau de couverture, mais il est très souvent insuffisant, surtout pour des risques lourds. Par exemple, un chirurgien-dentiste – qui cotise à la CARCDSF – touchera 95,16 euros par jour en cas d’incapacité de travail (maladie et accident), mais attention, seulement après un délai de carence de quatre-vingt-dix jours.

    Pire, en pareille situation, un architecte – qui cotise à la Cipav –, lui, n’a tout simplement droit à aucune prestation. Alors que près de la moitié des travailleurs non salariés (commerçants, artisans, professions libérales, gérants majoritaires de SARL…) n’est pas couverte en prévoyance, principalement pour des raisons budgétaires et par manque de temps, selon une étude réalisée par Ciprés Assurances, il semble urgent d’agir.

    Pour cela, faites un bilan des prestations auxquelles vous avez droit et estimez le plus finement possible vos besoins en cas de pépin pour mesurer l’écart de revenus à combler.

    N’hésitez pas à vous faire accompagner par un expert car «les demandes exprimées par les TNS ne sont pas toujours cohérentes avec leurs réels besoins, observe Rénald Lair, directeur commercial exécutif de Metlife. L’invalidité est par exemple un besoin primordial qui n’est pourtant jamais exprimé».

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    Photo : (@DR)